Il était une fois un jeune garçon de 20 ans…
Au tout début, avant que je commence le triathlon, j’avais une phobie de l’eau immense et je ne savais ni faire du vélo, ni courir. Et puis un jour, avec mon père et mon grand frère, on est allé en vacances à Embrun. C’est comme ça que j’ai découvert le plus grand et le plus difficile triathlon au monde : « Embrun-Man ». Quand j’ai vu tous ces grands champions de triathlon, je me suis dit « Mais comment ils font pour arriver à faire une si grande
distance en moins d’une journée ? ». Mes trois plus grands champions sont Hervé Faure et Marcel Zamora, sans oublier Manon Genet.
C’est en voyant plusieurs fois l’Embrun-Man, que j’ai eu envie de me lancer moi aussi dans le triathlon, et en particulier, en voyant plusieurs victoires de Marcel Zamora et d’Hervé Faure à Embrun.
Je suis rentré dans le club du Montélimar Triathlon entre fin 2014 et début 2015. J’ai rencontré beaucoup de personnes très sympas qui m’ont accepté au sein du club, comme un membre de leur famille, « Les trinougators du Montélimar triathlon ».
Je voudrais d’abord remercier la toute première personne qui m’a beaucoup aidé à vaincre mes peurs en vélo de route, c’est mon grand frère, Cyril.
Quand je suis rentré dans le club de Montélimar Triathlon, j’ai eu aussi d’immenses soutiens de tous les entraîneurs, mais aussi des triathlètes du club. Je tiens à remercier mon premier coach, Thierry Dupuy, car il m’a beaucoup aidé à combattre ma phobie de l’eau et il m’a surtout appris à nager alors qu’avant, je n’aurais jamais pu rentrer dans l’eau.
Puis un jour, j’ai commencé à rencontrer d’autres entraîneurs du club qui m’ont également appris beaucoup de choses comme par exemple Philippe et Bruno grâce au club du SCAP de Montélimar. Maintenant, c’est grâce à eux que j’ai pu me perfectionner dans le milieu du triathlon.
Pour continuer mon histoire, je voudrais nommer et également remercier deux autres personnes du club : Hélène et Christine. Je voudrais commencer par d’Hélène car grâce à elle, j’ai pu participer pour la toute première fois à un triathlon, et elle m’a poussé au maximum de mes limites et je suis même monté sur le podium du triathlon de l’île Barlet. Elle mérite vraiment mes remerciements Hélène, car c’est en partie grâce à elle que j’en suis arriver jusque-là.
Maintenant je vais vous parlez de Christine. Déjà, ce que je peux dire c’est que Christine est vraiment une personne formidable parce qu’elle aussi, elle m’a fait repousser mes limites, et elle m’a aidé également à prendre confiance en moi mais surtout, elle m’a accompagné sur pas mal de triathlons. Comme par exemple, le triathlon des Gorges de l’Ardèche qui est quand même assez difficile par son dénivelé assez élevé. Ce triathlon à été quand même un beau souvenir, car la première année que je l’ai fait, il y avait justement Christine avec moi tout le long de l’épreuve et juste pour ça, je la remercie. Mais aussi, ce que j’ai bien aimé sur cette première participation du triathlon des gorges de l’Ardèche, c’est le moment formidable que j’ai passé tout le long de cette journée avec pas mal de licenciés du club sans oublier les entraîneurs. Malheureusement, je dois dire que je ne ferai plus ce triathlon, sauf en 2020 pour pouvoir faire ensuite participer à l’Ironman 70.3 vichy 2020 qui est mon rêve. La dernière année que j’ai fait le triathlon des Gorges de l’Ardèche, ils m’ont terriblement déçu, que ce soit les organisateurs ou même les arbitres….
Je veux aussi dire un grand merci à Patrice Barthoux, notre président du club et aussi à Jean-Pierre. Pourquoi Jean-Pierre ? Parce que c’est lui qui m’a beaucoup aidé pour le vélo de route et la course à pied. C’est bien grâce à lui que j’ai pu utiliser les chaussures avec les cales, sans lui, je n’y ne serais jamais arriver. Et Patrice, parce que c’est quand même grâce à lui que maintenant je fais de si belles performances ! C’est franchement un super président Patrice ! Quand j’avais besoin il était toujours là pour moi, même pendant les moments difficiles. Merci Patoche !
Maintenant, Je voudrais vous parler de Françoise Estival et bien sûr des paratriathlètes que j’ai pu rencontrer au sein du club. Françoise est vraiment une personne formidable, car elle m’a beaucoup soutenu sur les compétitions et même les entraînements. À chaque fois que j’avais une compétition, elle était presque tout le temps à mes côtés pour m’encourager et pour me donner une force qu’elle me donne sur chaque événement. Je peux te dire un grand merci Françoise.
Les personnes dont je vais vous parler maintenant sont vraiment incroyables et surtout formidables, ce sont les paratriathlètes du club. C’est sûr que chacun a son propre handicap, mais c’est parce qu’on a un handicap physique ou mental, qu’on n’a pas le droit de d’avoir les mêmes rêves que les valides. J’ai découvert le paratriathlon à mon arrivée au club et j’ai moi-même un léger handicap mental. Vive le paratriathlon !
La dernière personne que je voudrais remercier, c’est mon père. Je peux lui dire milles mercis car c’est quand même lui en premier qui m’a suivi tout au long de mes quatre premières années dans le triathlon. À chaque compétition, même s’il n’était pas tout le temps physiquement là, je s’avais qu’il pensait toujours à moi et il était dans mon cœur. Mon père est la personne la plus importante dans ma vie, sans lui je n’aurais jamais pu arriver jusque-là même en ayant des entraîneurs qualifiés. Merci milles fois mon papa adoré !
Je voudrais finir mon histoire par un grand merci au club du Montélimar Triathlon. C’est ce club sportif qui m’a aidé, pour que maintenant, j’arrive à faire de si belles performances et que je monte même sur le podium d’un triathlon. Voilà tout ce que je voulais partager avec tous les membres du club.
Encore un énorme grand merci MONTÉLIMAR TRIATHLON !
Vive le triathlon
Et le handisport